Nomination de Michel Barnier, Premier ministre : réaction de la CPME

La CPME nationale accueille avec satisfaction la nomination d’un Premier ministre et se réjouit de voir cette fonction confiée à un homme de grande expérience, Michel Barnier. Son parcours politique et parlementaire, tant au niveau territorial que national et européen, sera sans nul doute utile pour convaincre les députés de faire preuve de responsabilité en acceptant de conduire les indispensables réformes dont notre pays a tant besoin. La CPME réitère avec force la nécessité absolue d’avoir le courage de réduire les dépenses publiques 📉 plutôt que de céder à la facilité en augmentant 📈 les prélèvements obligatoires. Toute augmentation des impôts et/ou des taxes, tout alourdissement du coût du travail aurait des conséquences ravageuses sur l’activité économique. Le maintien de la politique de l’offre est une des conditions du redémarrage d’une croissance dynamique 🏗️ soutenue par une baisse prévisible des taux. Tout signal contraire serait un message de défiance envoyé au monde entrepreneurial. Par ailleurs, il convient de rappeler que la progression des salaires est actuellement supérieure à l’inflation, alors même que de nombreuses entreprises voient se dégarnir leurs carnets de commandes et s’allonger les délais de paiement. Une hausse du SMIC risquerait de venir accroître les difficultés et alimenter l’augmentation actuelle des défaillances. ↪️ La CPME attend du prochain gouvernement qu’il reprenne la démarche de simplification administrative en faisant enfin aboutir le test PME, seul garant d’un véritable tournant. Elle considère également que le logement est un vecteur de croissance à condition que l’on adopte enfin les réformes nécessaires.

Futur Premier Ministre : lettre ouverte de François Asselin, Président de la CPME

Parue dans le Figaro ce samedi 31 août 2024, dans une période où les inquiétudes sont fortes dans le monde économique en cette rentrée et ou l’incertitude règne sur le cap et la vision politique notre nation, le Président de la CPME nationale, François Asselin, adresse une lettre ouverte à la future ou au futur Premier Ministre de la France en traçant les priorités. Pour porter la voix des TPE-PME et défendre les intérêts des forces vives qui sont la richesse économique de nos territoires, la CPME est en première ligne ! « Madame, Monsieur le futur(e) Premier Ministre, Votre responsabilité est lourde. Les Français, et notamment les entrepreneurs que je représente, attendent que soient mises de côté les querelles partisanes pour faire en sorte que notre pays ne sombre pas dans un immobilisme, synonyme de chaos.  La période des jeux olympiques a redonné de l’enthousiasme et de l’espoir à notre peuple en montrant à la face du monde que la France était capable de grandes choses lorsqu’elle en a la volonté et s’en donne les moyens. La mandature qui s’ouvre sera déterminante pour l’avenir de notre pays. La situation des finances publiques ne nous laisse pas d’autre choix que de retrouver du sérieux budgétaire, sans quoi nous risquons d’en perdre le contrôle alors que la France est, désormais, le troisième pays de l’union européenne en termes de ratio PIB/ endettement. Dans ce contexte, ce n’est pas seulement un retour sous les 3% qu’il faut viser en 2027, mais une trajectoire de retour à l’équilibre dans les années suivantes. Proposer des nouvelles dépenses nous exposerait aux mêmes déconvenues que la Grèce ou l’Espagne. Il nous faut, au contraire, aller de l’avant, en prenant à bras le corps des questions cruciales pour le pays, comme celle de l’emploi des séniors ou du logement qui connait actuellement une crise sans précédent. Se contenter de rogner sur les aides à l’apprentissage, renoncer à baisser les impôts de production, augmenter une fois encore les prélèvements obligatoires ou le coût du travail, sous un prétexte ou un autre, serait un remède pire que le mal. Tôt ou tard il faudra bien, et le moment est sans doute venu, réformer l’action publique qui ne souffre pas d’un manque de moyens ou de personnel, mais d’une absence de stratégie. Reprendre la loi sur la simplification qui prévoyait notamment la mise en place d’un test PME, est également un impératif alors que notre pays étouffe sous un carcan règlementaire qui décourage l’esprit d’entreprendre et pèse sur la compétitivité des entreprises françaises. Alors que les défaillances d’entreprises s’accélèrent, il faut agir pour soutenir cette croissance sans laquelle nous ne pourrons faire face aux enjeux financiers liés à la transition climatique ou aux évolutions technologique (IA …). Les entreprises françaises, et en particulier les TPE/PME, ont montré leur formidable dynamisme en continuant à créer des emplois et en augmentant les salaires qui, aujourd’hui, progressent plus rapidement que l’inflation. Elles méritent qu’on les accompagne. Elles sont la solution à bien des problèmes.  Les décourager en leur ôtant toutes perspectives de développement serait suicidaire. Par ailleurs, les partenaires sociaux dont fait partie la CPME, première organisation patronale française en nombre d’entreprises adhérentes (240 000), pourraient utilement être mis à contribution, sous réserve d’améliorer les règles qui régissent le paritarisme.  Ses acteurs pourraient être responsabilisés en adoptant, par exemple, le principe de la règle d’or applicable aux régimes sociaux dont ils ont la charge. Ne doutant pas de votre volonté de faire avancer notre pays, la CPME se tient à votre disposition pour évoquer avec vous les attentes, préoccupations et propositions de ces artisans, TPE, PME et professionnels libéraux qui font la force et la richesse de notre tissu économique. » François Asselin, Président de la CPME

Entreprises en difficulté ? La CPME vous guide et vous accompagne

📚 🔎 Chefs d’entreprise, comment réagir lorsque votre activité connaît une mauvaise passe ? Vers qui se tourner ? Qui contacter ? Quels outils essentiels et conseils pratiques ? La CPME a créé un guide pour vous aider et être à vos côtés. 💬 Bruno Dondero, président de la commission juridique CPME déplore « le manque de sensibilisation des dirigeants d’entreprises aux différentes procédures et mesures de soutien disponibles pour les accompagner, qui peut entraîner une sous-utilisation des ressources potentiellement disponibles, aggravant ainsi les difficultés ». Le guide réalisé vise donc à partager des conseils, vous informer sur la palette d’outils qui peuvent être à la disposition du dirigeant et vous aider à y voir plus clair. Il vous permet également d’appréhender au mieux ces difficultés et d’avoir en tête les questions utiles à se poser pour anticiper et gérer cette étape. Il vous explique aussi à qui vous adresser, et les différentes procédures qui existent. 🧑‍💻 Obtenez des conseils en sollicitant les antennes territoriales de la CPME, qui vous orienteront vers les bons interlocuteurs 💰 Soulagez la trésorerie de votre entreprise en demandant des délais de paiement pour les dettes fiscales et sociales, notamment auprès de l’Urssaf Caisse nationale et du SIE; ou en mettant en place un recouvrement de créances. 🔉 Sollicitez un dispositif de médiation, comme la Médiation des entreprises ou la Médiation du crédit aux entreprises 👉 Utilisez des procédures amiables ou collectives L’objectif, est que le chef d’entreprise ne se sente pas isolé et sache que notre organisation patronale est là pour l’accompagner, le guider et le soutenir !

François Asselin au JDD : «Le Nouveau Front populaire rame à contre-courant»

Le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), s’inquiète d’une éventuelle arrivée au pouvoir du NFP. Pour la première fois depuis 2022, les entrepreneurs redoutent que « la paix civile » soit menacée en fonction de la dégradation de la situation politique. « Si on augmente les salaires, on est plombé par les charges »  Dans le contexte actuel d’instabilité politique, les PME sont en première ligne. Alors que la politique de l’offre est remise en cause par certains et que le travail est le grand absent de la campagne législative, François ASSELIN a accordé une interview de fond au Journal du Dimanche, pour réaffirmer la position de la CPME : en lieu et place d’une envolée des dépenses, il faut au contraire maîtriser la dette de l’Etat et augmenter collectivement la quantité de travail dans notre pays : « s’accrocher à la France du travail plutôt qu’à la France des allocs. »

Réaction de la CPME au second tour des élections législatives

A l’issue du second tour des élections législatives, il est difficile de savoir par qui la France sera gouvernée. Cette incertitude n’est pas de nature à rassurer les entrepreneurs. Il est pourtant impératif de redonner confiance à ceux qui font la croissance et l’emploi, pour éviter que l’attentisme actuel ne se prolonge. Le pire serait que les investissements et les recrutements soient ajournés. La crise économique qui s’ensuivrait serait sévère et préjudiciable à l’ensemble des Français. De même, augmenter massivement les dépenses et les prélèvements obligatoires dans un pays qui détient le record d’Europe en la matière, conduirait infailliblement notre pays vers la mise en défaut financière. Dans ce contexte, les questions qui ont été peu abordées pendant la campagne, doivent désormais être remises au cœur de l’action politique. L’endettement de notre pays, qui est une des principales menaces actuelles, ne peut plus être considéré comme accessoire. Il n’y a maintenant plus d’autre choix que de réformer l’action publique en cessant d’empiler les échelons et en acceptant de poser des limites à l’augmentation d’effectifs aujourd’hui si mal répartis. Il est également temps de cesser de se mentir sur la question du travail. Et de dire clairement que notre système de protection sociale, dont le financement est principalement basé sur les revenus du travail, n’est plus viable sans augmentation du temps de travail. Notre pays doit donc inciter nos concitoyens à travailler davantage. Détricoter la réforme de l’assurance-chômage et revenir sur la réforme des retraites irait à l’inverse des mesures courageuses à prendre. Il est également impératif de remettre au-dessus de la pile le sujet de la simplification administrative qui nuit gravement à la compétitivité de nos entreprises tout en freinant le développement des TPE-PME. Et de faire en sorte que la transition climatique redevienne un vecteur de croissance. Quoi qu’il en soit, les premiers signaux envoyés aux entrepreneurs et aux entreprises seront déterminants alors que, rappelons-le, le nombre de défaillances d’entreprises a bondi de 18% sur les six premiers mois de l’année.

Elections législatives : quel impact sur les TPE-PME ?

Du 20 au 24 juin, la CPME a interrogé des dirigeants de TPE/PME. 1066 d’entre eux ont répondu à cette enquête administrée via un questionnaire en ligne. A la lecture de cette enquête,  il apparait que les chefs d’entreprise sont inquiets. Plus d’un tiers d’entre eux (35%) redoute l’instabilité politique (35 %) et un sur trois craint pour le maintien de la paix civile (29 %). Les choix politiques ne seront pas sans conséquences économiques. Selon les dirigeants interrogés, le résultat des élections législatives anticipées aura un impact fort sur le pays mais également sur leurs propres projets. 78 % d’entre eux considèrent qu’une hausse des dépenses publiques risquerait de conduire le pays à la faillite et à sa mise sous tutelle du FMI. De même, selon la majorité élue à l’Assemblée nationale, nombreux seront ceux qui reporteront leurs projets d’investissement ou de recrutement (58 % dans le cas d’une majorité du Nouveau Front populaire, 36 % dans le cas d’une majorité du Rassemblement national et de ses alliés ; 12% dans le cas d’une majorité Renaissance et ses alliés). Dans ce contexte, l’idée du Nouveau Front populaire de porter le salaire minimum à 1600 euros nets par mois est mal perçue par les dirigeants, dont 41% prendraient des mesures drastiques.  Plus d’un entrepreneur sur dix (14%) n’auraient d’autre choix que de cesser leur activité tandis que près de trois sur dix (27%) licencieraient une partie de leur personnel pour sauver leur entreprise. La moitié d’entre eux (50%) se contenterait, alimentant ainsi l’inflation, de répercuter cette hausse des salaires sur leurs prix de vente, sans qu’il y ait toutefois un impact sur les effectifs. Seul un dirigeant sur dix (10%) serait en capacité d’absorber ce surcoût dans ses marges. De même, en très grande majorité (83%), les chefs d’entreprise sont contre une diminution généralisée de la durée légale hebdomadaire de travail, à 32 heures. Seuls 12% d’entre eux y sont favorables uniquement pour les métiers pénibles, comme le propose le Nouveau Front populaire. Les dirigeants de TPE-PME se prononcent également, à une très large majorité (82%), contre un abaissement de l’âge légal de départ à la retraite proposé tant par le Rassemblement national que par le Nouveau Front populaire. Cette idée est considérée comme irréaliste dans l’état actuel des finances publiques (65%). Au chapitre des surprises, les dirigeants interrogés sont partagés (50 % d’opinions favorables – 50 % d’opinions défavorables) sur la réforme de l’assurance – chômage, qui prévoit notamment un allongement de la durée de travail nécessaire pour être indemnisé et un raccourcissement de la durée d’indemnisation. Sans doute en raison du fait que cette réforme ne comprend pas de diminution des cotisations patronales d’assurance-chômage. Enfin, les chefs d’entreprise ne sont pas opposés à une indexation des pensions (70%) sur l’inflation. Il en va de même pour la moitié d’entre eux (50%) sur une indexation des salaires sur l’inflation, probablement parce qu’ils pratiquent ainsi dans leur propre entreprise.

Contrat de législature du « nouveau front populaire » : pas sérieux mais néanmoins inquiétant !

La mise en œuvre du « contrat de législature » présenté ce matin par la gauche unie sous la bannière du « nouveau front populaire », aurait des conséquences catastrophiques pour l’économie française. Elle conduirait à une explosion de la dette et précipiterait, à brève échéance, notre pays vers un scénario identique à celui qu’a connu la Grèce. Le retour d’une économie administrée prévoyant notamment un blocage des prix, une embauche massive de fonctionnaires et un alignement des salaires sur l’inflation, ferait immédiatement décrocher notre économie.  L’augmentation annoncée des impôts et des cotisations sociales, dans un pays déjà champion d’Europe des prélèvements obligatoires, serait une pure folie.  Quant au retour à la retraite à 60 ans et à l’instauration des 32 heures pour certains métiers, cela relève de l’utopie la plus dangereuse car ne tenant aucun compte de la réalité. Comment imaginer que les Français peuvent moins travailler alors que notre démographie s’effondre et que les régimes sociaux sont déjà en situation plus que difficile ?  Ces mesures se traduiraient par une perte brutale de compétitivité des entreprises françaises, une augmentation du coût du travail, un coup d’arrêt à la consommation et à l’investissement. Avec à la clé une crise économique majeure et la disparition de très nombreux artisans, TPE et PME.  Ce « contrat de législature » n’est tout simplement pas sérieux. Il n’en est pas moins inquiétant.  Dans ce contexte, la CPME appelle les partis ou coalitions prétendant gouverner la France demain, à retrouver le sens des réalités auxquelles,  quoi qu’ils en disent, ils ne pourront pas échapper. 

Agriculture, emploi et inclusion : visite du Domaine René Rieux à Gaillac

Ce mercredi, nous étions plus d’une trentaine de dirigeantes et dirigeants tarnais pour découvrir, au coeur de notre beau vignoble du gaillacois, le domaine viticole René Rieux. 🍇 Ce domaine, créé par la famille Rieux, certifié en agriculture biologique🌱, est aujourd’hui un ESAT, établissement géré par l’AGAPEI, association accompagnant des personnes en situation de handicap. C’est un exemple d’inclusion, porteur des valeurs de l’économie sociale et solidaire, permettant à des adultes en situation de handicap de se professionnaliser, d’exercer un métier et de cultiver solidarité, amour de la terre et qualité des vins grâce à un véritable engagement sociétal. ✅ Accueillis par Marie Pierre Boucabeille, Directrice de l’Unité Albi-Gaillac Agapei, Anne Koenig, Œnologue et Responsable du domaine ainsi que leur équipe, nous avons pu partager leur passion de la profession, les missions et valeurs portées, autour de cette thématique « agriculture, savoir-faire et inclusion », importante pour la CPME81. Visite des installations, de la vigne, de l’exploitation, échange avec les personnes handicapées sur leur parcours à l’emploi et lien avec le monde du travail, les entrepreneurs présents ont pu apprécier tout l’engagement des équipes de l’Agapei et finir par une agréable dégustation de cette production en agriculture bio d’excellente qualité. 🍷 ✔️Un moment convivial, instructif et informatif au cœur d’une des filières identitaires de notre économie tarnaise, liée à l’histoire de notre département depuis plus de 2000 ans car le vignoble du Gaillacois est l’un des plus anciens de France avec un savoir-faire reconnu et des cépages préservés, appréciés au delà de nos frontières. 🌎

Communiqué : « Dissolution, pourquoi faire ? Les priorités de la CPME »

Le président de la République a annoncé la dissolution de l’Assemblée nationale, ce qui conduira, d’ici quelques semaines, à la formation d’un nouveau gouvernement. Dans ce contexte, la Confédération des PME souhaite, dès à présent, rappeler les priorités qui sont les siennes. ✔️Il convient, avant tout, de souligner que nul n’échappera au principe de réalité. La situation budgétaire de notre pays, qui croule sous le fardeau d’une dette publique dépassant les 3 000 milliards d’euros, rend indispensable et prioritaire, une réforme de l’action publique intégrant enfin une limitation du poids de la fonction publique. Quiconque engagerait des réformes coûteuses sans prendre en compte cet élément, exposerait la France à un risque majeur. De la même façon, la CPME souhaite que soit confirmée une politique de l’offre visant à soutenir les entreprises, la seule à même de générer cette croissance indispensable à notre pays. Ramener les prélèvements obligatoires sur les entreprises, et notamment les impôts de production, au niveau de la moyenne européenne est, à nos yeux, un objectif à atteindre pour redonner de la compétitivité aux entreprises françaises et restaurer notre souveraineté économique. 🔸La CPME considère également essentiel de continuer la décarbonation de notre économie et de persévérer sur la voie de la transition énergétique, tout en retrouvant une démarche de bon sens consistant à prendre les décisions en pesant, au préalable, les effets, pour en adapter le calendrier de mise en œuvre et les mesures d’accompagnement, à l’inverse de ce qui a été fait sur l’immobilier ou sur la mobilité. Par ailleurs, au-delà d’une baisse du coût du travail et des charges sociales qui étouffent les entreprises et les salariés, la valeur travail doit retrouver la place qui devrait être la sienne, et servir de boussole aux indispensables réformes de notre système de protection sociale. 🔹Enfin, la CPME attend du futur gouvernement la poursuite et l’accélération du travail engagé sur la simplification administrative, le poids des normes constituant un boulet accroché à l’économie française, et notamment au secteur agricole.

Projet de réforme de l’assurance-chômage : position de la CPME

📣Réforme de l’assurance-chômage : la position de la CPME Le Premier ministre Gabriel Attal a récemment annoncé les grandes lignes de la réforme de l’assurance-chômage, un sujet crucial dans le contexte actuel où beaucoup d’entreprises peinent à recruter malgré les millions de demandeurs d’emploi indemnisés.✅La CPME 81 soutient des mesures incitatives pour la reprise d’emploi, notamment :🔹Le durcissement de la période de référence d’affiliation à 8 mois sur 20 et la réduction de la durée d’indemnisation à 15 mois.🔸La modulation des conditions d’indemnisation selon le marché de l’emploi.🔹L’instauration d’un « bonus emploi sénior » pour encourager les séniors à accepter un emploi.↪️Retrouvez l’intégralité du communiqué de la CPME et de nos propositions

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