Le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), s’inquiète d’une éventuelle arrivée au pouvoir du NFP. Pour la première fois depuis 2022, les entrepreneurs redoutent que « la paix civile » soit menacée en fonction de la dégradation de la situation politique.
« Si on augmente les salaires, on est plombé par les charges »
Dans le contexte actuel d’instabilité politique, les PME sont en première ligne. Alors que la politique de l’offre est remise en cause par certains et que le travail est le grand absent de la campagne législative, François ASSELIN a accordé une interview de fond au Journal du Dimanche, pour réaffirmer la position de la CPME : en lieu et place d’une envolée des dépenses, il faut au contraire maîtriser la dette de l’Etat et augmenter collectivement la quantité de travail dans notre pays : « s’accrocher à la France du travail plutôt qu’à la France des allocs. »